Ce projet a pu voir le jour grâce à la confiance de tous ces collectifs humains :
- Urbain, trop urbain, bien sûr, pour le financement du voyage d’enquête en Louisiane à l’été 2015, notamment, et plus largement, pour le milieu social, intellectuel et sensible, que constitue ce collectif.
- Les institutions de Port-de-Bouc, le Centre des arts Fernand Léger et la Médiathèque Boris Vian. Leur directrice et directeur respectifs, Laure Florès et Jean-Luc Albert, m’ont donné l’occasion de produire les textes qui ont formé la matière première de ce projet, par une résidence d’écriture, une occasion de performance et une commande de texte.
- Le collectif de cinéastes Film Flamme, qui a mis à ma disposition à chaque fois que j’en ai eu besoin : équipe et matériel, (dont la fameuse Bolex avec laquelle Orphée court aux abords de l’usine de Lavéra), ainsi que son lieu de résidence à Marseille. La rencontre multimédia entre écriture numérique et cinéma analogique a contribué à construire la dimension rétro-future du projet.
- Le CRL Midi-Pyrénées, aujourd’hui OLL, qui m’a attribué la première bourse d’écriture numérique, et qui a organisé des rencontres professionnelles sur l’écriture numérique en partenariat avec La Marelle, indispensables et enrichissantes.
- Les éditions Publie.net, en la personne de Guillaume Vissac, qui a su accueillir l’idée de mon projet, et accompagner les aléas de sa création avec une évidence rare.
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Je tiens à saluer Stephan Dunkelman avec qui nous avons imaginé et réalisé la pièce sonore documentaire Le Génie du rivage dans une belle connivence.
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Un grand merci aussi :
- aux premiers lecteurs et lectrices, de s’être pris au jeu des retours : Marie-Françoise, Matthieu, Gabriel, Raphaèle, François, Jean et Muriel,
- et à tous ceux avec qui je pratique la musique et l’opéra baroques…